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Reportage sur le Noël des soldats canadiens du Royal 22e régiment à la Guerre de Corée.

Après un certain temps sur la ligne de feu, les troupes furent déchargées et renvoyées pour un repos mérité. Durant ces congés, ils prirent plaisir avec diverses formes de divertissement tels que des parties de cartes, des jeux de mots, du chant et des spectacles de variété.

On y trouve une presentation de diapositives. Ces 25 images illustrent le travail de l’Armée du Salut au cours des deux guerres mondiales et pendant la période d’après-guerre.

Aux 18e et 19e siècles, l'alcool et les prostituées ne sont pas les seuls divertissements des soldats britanniques. Les jeux de cartes et de dés sont populaires, tout comme les chansons et la musique. L'armée encourage l'alphabétisation et organise des cours pour les illettrés qui sont la majorité.

En dehors du mess de leur unité, les officiers britanniques basés au Canada au 18e et 19e siècles se divertissent de plusieurs façons. Ils montent des pièces de théâtre ou des concerts de musique amateurs, peignent des aquarelles, pêchent, chassent ou prennent part à des courses de chevaux.

Présente des statistiques montrant la quantité de provisions distribuer par l’Armée du Salut pendant la Seconde Guerre mondiale ainsi que des statistiques sur l’utilisation de leurs services.

Peu importe d'où ils viennent, les soldats jouent souvent aux cartes, que ce soit dans une auberge comme le montre cette illustration, ou en campagne avec un tambour en guise de table de jeu. Souvent, des sommes d'argent sont mises en jeu. En cela, les soldats du Canada ne sont pas différents des autres. Cependant, ils n'ont probablement pas porté de bottes à éperons comme on peut le voir dans cette illustration de soldats servant en France.

Malgré tous les flirts, il y avait peu de mariages. Seulement un officier sur quatre était marié. Voici une caricature de 1873 par le capitaine Seccombe.

Au cours des deux guerres mondiales et tout au long de la guerre froide, l'Armée du Salut a assuré aux Canadiens servant dans les forces armées un certain réconfort sous la forme, par exemple, de boissons chaudes et de goûters. Elle les a aussi aidés à conserver leur moral en établissant des centres de permission où ils pouvaient s'adonner à diverses activités ou simplement se détendre. En novembre 1939, Ottawa a accordé à l’Armée du Salut le statut officiel de Service auxiliaires militaires.

Le mess d’un régiment était en quelque sorte un centre social et la version militaire d’un club privé pour gentilhommes. En u contribuant tous, les officiers pouvaient ainsi s’offrir des petits luxes de la vie, de bons vins, par exemple et des lieux plaisants pour se réunir.