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Pendant 15 ans, la tendance aux compromis permet à Wilfrid Laurier de demeurer à la tête du pays. Ce penchant lui vaut le surnom de « grand conciliateur » . Mais en 1911, ce talent n'est plus suffisant pour gagner les élections.

Tout au long de sa carrière, le compromis demeurera la principale stratégie politique de Laurier pour régler les situations conflictuelles. Fervent défenseur de l'unité canadienne, il aura notamment à résoudre plusieurs controverses majeures divisant les Canadiens.

Situé à Saint-Lin-Laurentides dans Lanaudière, à environ 50 km au nord-est de Montréal, le lieu historique national du Canada de Sir-Wilfrid-Laurier rappelle la vie et l'œuvre de l'ancien premier ministre du Canada.

L'un des éléments principaux de sa vision était un fort sentiment d'unité nationale. En tant que jeune homme, il disait : « L'union entre les peuples, le secret de l'avenir. » [« The unity of the people is the secret of the future. »...

À aucun moment les qualités de chef de King ne sont apparues plus clairement que lorsqu'il a eu à faire face au défi de diriger son pays pendant la Seconde Guerre mondiale.

Cette maison victorienne cossue construite en 1878 au coeur de la ville a été habitée par deux premiers ministres : sir Wilfrid Laurier et William Lyon Mackenzie .

Une liste source de littèrature contemporaine dépeignant les divergences de vue à propos de la guerre d'Afrique du Sud, ainsi que les attitudes et sentiments prédominants de cette époque.

Les francophones s'opposent à la guerre et, dirigée par Henri Bourassa, se demandent où celle-ci les mènera et quelles autres guerres ils auront à combattre pour la Grande-Bretagne. D'autres Canadiens anglais commencent à douter des raisons de la guerre. La différence d'opinions cause des émeutes à Montréal et divise les deux principales communautés du Canada en matière de politiques étrangères.