Au 18e siècle, la France ne conserve qu'une poignée d'hommes dans ses vastes possessions d'Amérique du Nord pour deux raisons. D'une part, les terres sont en grande partie assujetties aux traités commerciaux conclus avec les Amérindiens, et d'autre part, les tactiques employées unissent les méthodes autochtones au sens de l'organisation et à la discipline européennes.