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La communauté japonaise est sans conteste la plus touchée au Canada pendant la Seconde Guerre mondiale. Suite à l'attaque de Pearl Harbour, tous les japonais sont considérés "ennemis étrangers", leurs biens sont saisis et vendus et les familles dispersées.

Le Canada va établir un hôpital de campagne en Arabie Saoudite où près de 550 canadiens vont y travailler, ce qui entraîne la restructuration de la sécurité auprès du Gouvernement et des ambassades suite au manifestation contre la participation à la guerre.

Le général Allard parle de ses souvenirs au sein du Royal 22e Régiment.

Les japonais dépouillés de tout leurs biens, vivaient dans des conditions difficiles et étaient envoyés dans des fermes de betteraves ou à la construction de route.

Plusieurs militaires canadiens et américains éprouvent d'étranges symptômes depuis leurs retour du golfe Persique et croient que l'utilisation d'uranium appauvri en est la cause.

Discours du général Vanier sur la création d'une unité canadienne française, le Royal 22e Régiment.

À Kananaskis est érigé un camp d'internement pour des soldats allemands faits prisonniers sur les fronts européens ainsi que des canadiens d'origine allemande et italienne.

Comme toute guerre, celle de Corée apportera son lot d'horreurs et de malheurs où des hommes sont tués ou blessés.

Le Caporal Azade Robichaud parle de l'utilisation des mines antipersonnels pendant la guerre de Corée.

Les japonais obtiennent amende honorable par le gouvernement canadien suite à l'internement de près de 21 000 canadiens d'origine japonaise lors de la Deuxième Guerre mondiale.