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L'effort canadien durant la Première Guerre mondiale est exceptionnel vu la faible population et l'histoire militaire du pays. De nombreux monuments et cimetières d'Europe commémorent les Canadiens qui ont sacrifié leur vie.

On y trouve un court texte d'une lettre de Mary Riter Hamilton présenté avec des peintures. Traite des paysages ravagés des villes en France et en Belgique suivant la Première Guerre Mondiale.

Extrait d'une entrevue avec Mary Riter Hamilton est présenté avec peintures. Traite du pays européen dévasté par la guerre.

La bataille de l'Atlantique fut un combat décisif qui fut gagné juste à temps, avec l'aide massive du Canada, de sa marine, de ses aviateurs, de sa marine marchande et de sa population de civils. Ce document discute le coût de la victoire en terme de vies perdues, et décrit le sacrifice du lieutenant-colonel capitaine d'aviation David Hornell, récipiendaire de la Croix de Victoria à titre posthume.

Anxieux de laver l'humiliation que leur ont infligée les Français en 1716, les Renards multiplient les attaques à la nation des Illinois, alliée des Français. Au même moment ils conclurent des alliances avec d'autres nations. Des villages des Renards furent brulés suite à une expédition menée par les Français en 1728 mais la victoire fut partielle.

Les Iroquois et les Français se font la guerre de raid jusqu'à la fin des années 1690. Les établissements Iroquois souffrirent grandement pendant que les Amérindiens se sentaient délaissés par leurs alliés Anglais. Epuisés, les Iroquois signent un traité de paix avec la France en 1701.

Plusieurs militaires canadiens et américains éprouvent d'étranges symptômes depuis leurs retour du golfe Persique et croient que l'utilisation d'uranium appauvri en est la cause.

La participation du Canada en Afrique du Sud favorise la croissance du nationalisme canadien en raison des différences sociales entre Canadiens et Britanniques, du mauvais traitement par l'Armée britannique des militaires de grade moins élevé et du désir des hommes politiques canadiens d'avoir sous leur coupe ce qu'ils considérent comme des troupes canadiennes. Le souvenir des combattants et des horreurs de la guerre s'estompe avec le temps, et de nouvelles légendes militaires canadiennes prennent naissance.

Après la défaite des patriotes à Saint-Eustache, en décembre 1837, les réguliers britanniques et les volontaires loyalistes pillent la ville et l'incendient. Dans les jours suivants, deux autres villes sont brûlées, et les volontaires indisciplinés pillent la campagne alentour.

Arras, située au nord-ouest de la France près de la frontière belge, est une ville au patrimoine architectural inestimable. En 1914, la destruction d'Arras contribua grandement à la propagande alliée assimilant l'Allemagne à la barbarie. Cette peinture de l'artiste belge Gustave Fraipont, montre l'Hôtel de Ville d'Arras avec son campanile Belfoi qui ont été détruit durant la guerre. Plusieurs villes historiques belges et françaises ont connu un destin semblable. (Collection privée)