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Cavalier, Montreal Royal Cavalry, 1824

Type: Image

Cette silhouette d’un cavalier de l’unité Royal Montreal Cavalry, datant de 1824, est l’une des premières images connues d’une unité canadienne. Ces unités de cavalerie légère de milice étaient habillées dans le même style que les dragons légers de l’armée britannique. L’uniforme était bleu à la devanture écarlate, et garni de boutons et de cordons dorés. La silhouette originale se trouve dans la collection du Musée d'Argenteuil, à Carillon (Québec). La Royal Montreal Cavalry recrutait parmi les anglophones de la classe moyenne de Montréal, et constituait, en quelque sorte, une version militaire du Montreal Hunt Club.

Site: Défense Nationale

Camp du 43rd Regiment of Foot pendant le siège de Fort Beauséjour, juin 1755

Type: Image

Les hommes du 43rd Regiment of Foot faisaient partie d'une imposante armée de 2 000 hommes sous la gouverne du lieutenant-colonel Robert Monkton, qui a pris le fort Beauséjour après un court siège pendant l'été de 1755. À gauche, on voit des hommes de la compagnie de grenadiers, que l'on peut distinguer grâce à leur bonnet pointu. Au centre se trouvent des soldats ordinaires qui portent le tricorne, tout comme la plupart des membres du régiment. Les jeunes hommes à droite sont des tambours et les couleurs de leur manteau sont inversées pour que l'on puisse facilement les distinguer lors des batailles; élément très important à l'époque parce que les battements de tambour servaient à donner les ordres. La présence de femmes et d'enfants semble peu appropriée dans un campement militaire, mais un petit nombre de familles de soldat suivaient chacun des régiments britanniques lors des campagnes. Reconstitution par Lewis Parker. (Parcs Canada)

Site: Défense Nationale

Caporal, Royal 22e Régiment, Italie, 1943

Type: Image

Au cours des étés dans le sud d'Italie, les Canadiens portaient l'uniforme tropical de la British 8th Army. Cette reconstruction de Ron Volstad dépeint un caporal du Royal 22e Régiment, le seul régiment francophone de l'infanterie régulière dans l'armée canadien pendant la guerre. L'unité a participé au combat pour la première fois dans les débarquements en Sicile en 1943. Notez l'insigne célèbre rouge de la 1re Division canadienne au-dessus de l'épaule. Cet insigne date de la Première Guerre mondiale. (Ministère de la Défense nationale du Canada)

Site: Défense Nationale

Grenadier du régiment de Guyenne (à gauche) et caporal du régiment de Béarn (à droite), vers 1756

Type: Image

Ces hommes portent la version spéciale canadienne de l'uniforme régimentaire, conçue à la demande du ministère de la Marine (responsable des colonies françaises). À gauche, se trouve un grenadier du régiment de Guyenne. Sa moustache révèle qu'il est membre de la compagnie des grenadiers d'élite - les autres soldats français de l'époque devaient être rasés de près. Son uniforme ressemble beaucoup à l'uniforme européen, mais son manteau gris-blanc n'a pas de col. L'uniforme canadien du régiment de Béarn comporte plus de différences : manchettes et gilet bleus; boutons gris d'étain; rubans argentés. Cet uniforme est considérablement différent de celui qui est porté en Europe : col, manchettes et gilet rouges; boutons en laiton; rubans dorés. Sur les manchettes du caporal du régiment de Béarn (à droite), on aperçoit des mailles argentées qui servent à identifier son rang. Reconstitution par Eugène Lelièpvre. (Parcs Canada)

Site: Défense Nationale

Préjudices causés par la corruption

Type: Document

En 1756, la nomination d'un escroc, François Bigot, né au Canada, au poste d'intendant (et ministre des Finances en chef de la Nouvelle-France) ne fait qu'empirer la situation. La corruption et le vol qu'il tolère entraînent une inflation galopante en Nouvelle-France, ce qui appauvrit nombre d'officiers, notamment parmi les métropolitains dépourvus de revenus locaux.

Site: Défense Nationale

Tambour, Primera Compañía franca de Voluntarios de Cataluña à Nootka, 1790-1794

Type: Image

Il y avait deux tambours au sein de la Primera Compañia franca de Voluntarios de Cataluña (ou première compagnie franche de volontaires catalans). Cette unité de l'armée coloniale espagnole a garni les rangs de la première garnison à Nootka. Après 1760, les tambours de l'armée espagnole portaient la livrée du roi d'Espagne - un manteau bleu avec un col et des manchettes écarlates, ainsi qu'un gilet écarlate. Le manteau et le gilet étaient parementés d'un ruban écarlate brodé d'un fil blanc. Ce même patron de ruban était utilisé pour les uniformes français avant le début de la Révolution française, en 1789. Les rois bourbons d'Espagne étaient de la lignée de la famille royale de France et ont adopté une livrée semblable. Reconstitution par David Rickman. (Parcs Canada)

Site: Défense Nationale

Cavalier, 1ère Troupe de Cavalerie de la Milice volontaire du comté de York, circa 1855

Type: Image

Officieusement connue sous le nom de la « troupe de Dennison », la famille Denisson l’ayant commandée durant trois générations successives, la cavalerie volontaire de Toronto date de 1822. L’uniforme montré sur la photo était bleu foncé avec le collet et les parements chamois pâle et ornés de tresses d’argent. Cette tenue fut adoptée après la rébellion de 1838 (quand l’unité était alors dénommée « Queen’s Light Dragoons ») et fut portée jusqu’en 1871. À cette époque, l’unité devint la « The Governor General's Body Guard » (Garde à cheval du gouverneur général). (Bibliothèque du Ministère de la Défense nationale du Canada)

Site: Défense Nationale

Soldats, régiment de la Reine et régiment de Languedoc, vers 1756

Type: Image

Ces soldats français du régiment de la Reine (à gauche) et du régiment de Languedoc (à droite), portent une version spéciale canadienne de leur uniforme régimentaire. Lorsque les unités des troupes de la Terre (l'armée métropolitaine française) ont été envoyées en Nouvelle-France en 1755, elles se sont vues offrir des uniformes mieux adaptés au service colonial et conçus à la demande du ministère de la Marine (responsable des colonies françaises). Sur cette illustration, les deux hommes portent leur manteau gris-blanc (sans col pour le Canada), mais une fois sur le champ de bataille, les manteaux étaient mis de côté et les soldats ne devaient porter que leur gilet. Pour la Reine, le gilet rouge (contrairement au gilet bleu porté en Europe) était l'une des distinctions évidentes de l'uniforme canadien. L’uniforme des soldats du régiment de Languedoc était de couleur identique aux uniformes européens habituels. Reconstitution par Eugène Lelièpvre. (Parcs Canada)

Site: Défense Nationale

Les uniformes

Type: Document

Cette section contient une collection d'objets conservés et d'illustrations réalisées par des artistes de l'époque. On y trouve des uniformes d'officiers et d'hommes du rang de diverses unités canadiennes et britanniques ayant servi dans ce qui est maintenant le Canada entre 1780 et 1870.

Site: Défense Nationale

23rd Regiment of Foot (Royal Welsh Fuziliers), 1838-1853

Type: Image

Ce régiment issu du pays de Galles fut cantonné à divers endroits au Canada entre 1838 et 1853. La mascotte régimentaire du 23rd Foot est une chèvre, une tradition également adoptée par son régiment allié canadien, le Royal 22ème Régiment. De gauche à droite : un simple soldat, un sapeur, le tambour-major et deux officiers. Le ruban noir porté à l’arrière du collet de l’habit des officiers est une tradition particulière à ce régiment. (Bibliothèque du Ministère de la Défense nationale du Canada)

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