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Artillerie française, années 1640

Type: Image

L'artillerie des premiers forts défendant les villes de la Nouvelle-France est généralement montée sur ce type d'affût. On voit ici un canonnier nettoyer la lumière à l'aide d'une pointe effilée. Un des artilleurs porte une pique fourchue qui sert à tenir une mèche lente qui allume la poudre contenue dans la lumière qui, à son tour, fait exploser la charge de poudre propulsant le boulet.

Site: Défense Nationale

La bataille du Long-Sault, en mai 1660

Type: Image

Cette gravure du début du XXe siècle montre le point culminant de la bataille livrée en 1660 par Adam Dollard des Ormeaux et ses hommes pour défendre Long-Sault contre les Iroquois. On voit ici un défenseur français tenir au-dessus de sa tête un tonnelet de poudre à canon. Cette bombe de fortune allait retomber à l'intérieur du fort et tuer une bonne partie de la garnison.

Site: Défense Nationale

L'élite militaire canadienne est née

Type: Document

Les officiers des Compagnies franches de la Marine s'assimilent de plus en plus au cours des années. Tôt ou tard, la majorité des ces hommes naissent dans la colonie et les officiers nés en France établissent des racines solides au Canada.

Site: Défense Nationale

Mille deux cent nouveaux hommes

Type: Document

L'ajout de 1200 nouveaux hommes français à une colonie de 3200 hommes eut un impact important sur la communauté. Le régiment de Carignan-Salièress fut rapidement déployé aux fortifications en bordure de la rivière Richelieu.

Site: Défense Nationale

Soldats français au début du XVIIe siècle

Type: Image

Ces soldats français sont habillés dans un style qui est répandu dans presque toute l'Europe occidentale au début du XVIIe siècle. Noter la fourquine de l'homme à gauche, et la pique dont est armé l'homme en arrière-plan. Gravure du milieu du XIXe siècle, d'après un dessin d'Alfred de Marbot.

Site: Défense Nationale

Mousquet à mèche, vers 1665

Type: Image

Ce mousquet est le type d'arme porté par les hommes du régiment de Carignan-Salières durant leur service au Canada. Le tireur, lorsqu'il appuie sur la détente (le levier qui se trouve sous l'arme) fait tomber le serpentin (le bras de métal courbe à droite). Un segment de corde qui brûle lentement, appelé « mèche lente » (non montré), est attaché au sommet du serpentin. Lorsque le serpentin tombe, la mèche allumée descend dans le bassinet (au centre), petite cuvette dans laquelle est déposée une petite quantité de poudre. Quand cette poudre explose au contact de la mèche, le feu se rend jusqu'au canon et fait exploser une deuxième charge de poudre. Cette dernière explosion propulse la balle hors du canon (dont une partie est visible à droite). Ce système peut faire défaut de diverses façons, mais quand tout fonctionne, il est très bruyant et spectaculaire. (Parcs Canada)

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Guerriers iroquois rôdant près d'établissements français, années 1650

Type: Image

Jusqu'aux années 1660, et dans la région de Montréal en particulier, aucun habitant des établissements français ne peut vraiment se sentir à l'abri d'attaques suprises menées par des guerriers iroquois. De nombreux colons canadiens, y compris des femmes, apprennent à manier les armes à feu durant les années 1650.

Site: Défense Nationale

Signalisation des dangers, années 1660

Type: Image

Puisque les Iroquois lancent constamment des attaques-surprises contre les colons à Montréal entre 1660 et 1665, les sœurs hospitalières font elles aussi le guet et sonnent leur cloche pour donner l'alarme chaque fois qu'elles aperçoivent quelque chose de suspect.

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Piquier français, vers 1635

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Des armures et des armes de piquier sont envoyées à Québec durant les années 1620. Il semble que ces armures sont portées par certains soldats jusqu'à la fin des années 1630, même si les piques sont de toute évidence presque jamais utilisées. En Europe, les piquiers, qu'on voit de moins en moins sur les champs de bataille, disparaissent vers la fin du siècle. En Amérique, les piques et les hallebardes sont parfois utilisées, mais à des fins cérémoniales uniquement.

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Le contrôle royal remplace les compagnies privées

Type: Document

Quand le roi de France Louis XIV atteignit sa majorité, il amorça de grandes réformes en France. Une des mesures qui s'imposa fut de briser le monopole des compagnies de commerce.

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