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Cet article traite des origines de la guerre sud-africaine et la participation du Canada à cette guerre. Comprend des lectures complémentaires.

On offre aux Britanniques un deuxième contingent de soldats canadiens mieux instruits et plus aptes à servir en Afrique du Sud. Le contingent comprend cinq batteries d'artillerie de campagne et deux bataillons de fusiliers à cheval. Ce sont des membres de ce groupe qui reçoivent les premières Croix de Victoria d'outre-mer du Canada.

Une petite liste de chansons populaires et de marche militaire, célébrant les Canadiens qui ont participé à la guerre des Boers, ou la guerre d'Afrique du Sud.

Durant la guerre en Afrique du Sud, toutes les unites canadiennes, sauf le 2nd (Special Service) Battalion, Royal Canadian Regiment of Infantry, ont porté le chapeau Stetson, qui en vient à identifier le Canada et sa présence là-bas.

Fournit une bibliographique de ressources suggérées portant sur la Guerre d'Afrique du Sud et comporte des liens vers des ressources électroniques externes.

Le ministère de la Milice et de la Défense équipe et entraînes les hommes qui sont toutefois payés par les Britanniques. En janvier 1902, le régiment quitte le pays fort de six escadrons, de 901 hommes, tous grades confondus. Avec le 10e Hôpital de campagne canadien, il forme le troisième contingent.

Pendant la guerre sud-africaine, John McCrae a été chargé de commander une batterie d'artillerie de sa ville natale. Cette expérience l'a laissé avec des sentiments partagés au sujet de la guerre. Il a démissionné en 1904 et n'a plus participé aux activités militaires avant 1914.

Discours de Wilfrid Laurier prononcé devant la Chambre des communes, le 13 mars, 1900, durant laquelle il présente l'appui de son gouvernement à la Grande-Bretagne dans la guerre des Boers.

L’expérience accumulée par les Canadiens avec les mitrailleuses en Afrique du Sud est transmise au Corps expéditionnaire canadien qui, en 1914, part au combat avec la Colt.

La première bataille à laquelle les Canadiens participent a lieu à Paardeberg, où la victoire consiste à survivre aux adversaires. Le contingent canadien participe à plusieurs batailles par la suite, surtout en périphérie. Seulement un quart des membres de la force offrent de prolonger la durée de leur service; les autres rentrent au pays en décembre 1900.