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Organisation > Défense Nationale

Sujet > Stratégie et tactique

Les combats sur la Côte d'Azur

Type: Document

En raison des combats qu'il livre sur la Côte d'Azur à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, l'officier canadien Ralph Wilson Becket gagne la Silver Star américaine, tout comme le Sergent Thomas Price, le plus décoré des soldats autochtones canadiens.

Site: Défense Nationale

Offensive contre la vallée de l'Ohio

Type: Document

En 1755, fort d'une armée constituée autour de ses deux régiments de réguliers, le général Braddock lance une attaque sur la vallée de l'Ohio depuis la Virginie. L'expédition de 200 km vers le fort Duquesne est ralentie par la nécessaire construction de routes et de ponts pour faire avancer les troupes en terrain difficile.

Site: Défense Nationale

La « porte française » du Fort Niagara

Type: Image

La construction de la fameuse « porte française » a débuté au fort Niagara en 1756. Remarquer les armoiries - à partir de 1725, les armoiries royales de France devaient être installées au-dessus des portes principales des villes et des forts de Nouvelle-France. Le fort a quant à lui été construit dans les années 1720 et a par la suite été agrandi au début de la Guerre de Sept Ans. De nombreuses structures françaises originales étaient encore en place et ont été incorporées aux constructions britanniques et américaines. Le site est maintenant un parc de l'État de New York.

Site: Défense Nationale

La 1re brigade de service spécial

Type: Document

Un jeune officier canadien, Ralph Wilson Becket, se joint à la 1re Brigade de service spécial, une force multinationale canado-américaine d'opérations en montagne; il sert à Kiska et lors de l'invasion du sud de la France.

Site: Défense Nationale

De sévères conditions de capitulation

Type: Document

Les fortifications de Montréal sont trop vulnérables pour soutenir un siège, et les commandants français Vaudreuil et Lévis se rendent aux Britanniques en septembre 1760. Les conditions de leur capitulation sont très sévères, et les défenseurs n'ont pas droit aux honneurs de la guerre.

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De redoutables guerriers

Type: Document

Aux 18e et 19e siècles, les peuples de la côte Pacifique sont de farouches combattants. Leurs guerriers utilisent l'arc, la lance, le casse-tête et le poignard à lame d'os, et portent parfois une armure de bois. Ils préfèrent l'assaut en groupe, mais n'hésitent pas à recourir à la duplicité au cours de rencontres « amicales ».

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Retour aux anciennes méthodes

Type: Document

Après 1777, afin de maintenir les rebelles américains sur la défensive, les Britanniques adoptent la vieille tactique canadienne d'incursions éclairs sur les campements ennemis. Ces raids sont menés par des groupes composés d'Amérindiens et de soldats dont des loyalistes américains comme les Rangers de Butler.

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La bataille du Long-Sault, en mai 1660

Type: Image

Cette gravure du début du XXe siècle montre le point culminant de la bataille livrée en 1660 par Adam Dollard des Ormeaux et ses hommes pour défendre Long-Sault contre les Iroquois. On voit ici un défenseur français tenir au-dessus de sa tête un tonnelet de poudre à canon. Cette bombe de fortune allait retomber à l'intérieur du fort et tuer une bonne partie de la garnison.

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Reddition du fort Beauséjour

Type: Document

Dès le début de la guerre en 1755, les Britanniques prennent l'offensive en Nouvelle-Écosse, où ils s'emparent des deux forts français installés sur l'isthme de Chignectou revendiqué par les deux belligérants. Le fort Beauséjour capitule le 17 juin après un bref siège, tandis que le fort Gaspareau est conquis peu de temps après sans coup férir.

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Fort Montgomery - fort américain construit à l'intérieur du Canada

Type: Image

Suite à la guerre de 1812, le United States Corps of Engineers entreprend la construction du fort Montgomery en 1816. Il est situé près de Rouses Point (New York), à l’extrémité nord du lac Champlain, à l’embouchure de la rivière Richelieu. Ce fort devait servir, en cas de nouvelle guerre, à protéger la frontière nord des États-Unis contre des intrusions britanniques ou canadiennes, en plus d’offrir une base à l’armée américaine pour procéder à l’invasion du Canada dans cette région. Toutefois, les travaux ont dû être abandonnés après deux ans, car le fort se trouvait un peu à l’intérieur du territoire canadien. Fort Montgomery a été surnommé « Fort Blunder » et n'a jamais été terminé. Le site a été rendu aux Américains en 1842, en signe de cordialité entre la Grande-Bretagne, le Canada et les États-Unis, qui sont devenus des alliés dans les grands conflits du 20e siècle.

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