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Date > 1600

Sujet > Forces armées > Force terrestre

Les troupes de la marine à l'extérieur de l'Amérique du Nord

Type: Document

Le ministère français de la marine était responsable des navires de guerre, de la défense côtière et de l'administration des colonies. Il fut capable de maintenir des troupes en France, dans les Antilles et en Amérique du Nord.

Site: Défense Nationale

Compagnies franches de la Marine au Canada

Type: Document

L'organisation des Compagnies franches de la Marine en Nouvelle-France variait en fonction du type de compagnie et la de la période. Cependant, elles avaient deux choses en commun: elles avaient un nombre supplémentaire d'officiers et étaient souvent à court de simples soldats.

Site: Défense Nationale

Compagnies franches de la Marine en Acadie

Type: Document

Originalement en détachement du Canada, les troupes en Acadie furent réorganisées avec le modèle standard. Leurs forces furent bien gardées à cause de l'isolement de la colonie.

Site: Défense Nationale

Bombariers de la Marine

Type: Document

La marine française avait sa propre unité d'artillerie pour servir à bord des navires et servir les forces terrestres. On retrouvait parfois des détachements de cette unité en Nouvelle-France.

Site: Défense Nationale

Une nouveauté pour les Britanniques

Type: Document

Au 18e siècle, la Grande-Bretagne ne possède pas d'armée puissante et dépend plutôt de sa marine royale. On déplace selon les besoins les régiments de la petite armée de terre britannique qui servent en Grande-Bretagne et dans les colonies. Il n'y a pas d'armée coloniale proprement dite, comme celle que la France a maintenue au Canada.

Site: Défense Nationale

Au régiment

Type: Document

Aux 18e et 19e siècles, les recrues de l'armée britannique sont envoyées au dépôt du régiment, où ils reçoivent vêtements et matériel. Ils commencent leur instruction et apprennent le maniement des armes. Après un examen médical (obligatoire), ils sont officiellement enrôlés devant un juge.

Site: Défense Nationale

De l'arquebuse au mousquet

Type: Document

Les armes à feu utilisées par les soldats européens se sont perfectionnées. Elles sont devenues plus légères, plus solides et à mise à feu plus rapide. Le port de l'armure sur le champ de bataille a presque disapru par la suite.

Site: Défense Nationale

Les batteries de Québec ouvrent le feu sur les navires de Phips en octobre 1690

Type: Image

À Québec, en octobre 1690, des canons ouvrent le feu sur les navires des envahisseurs. La ville haute est bien protégée par un mur entrecoupé de batteries, et grâce à de véritables ouvrages défensifs avoisinant le château Saint-Louis, près du cap Diamant. Dans la ville basse, on trouve deux batteries riveraines équipées de canons lourds de marine de 18 et 24 livres. Du côté de la terre, une ligne de remblais ponctués de 11 redoutes couvre le côté ouest de la ville. Cette gravure du XIXe siècle est inexacte à certains égards, notamment dans le cas du château Saint-Louis, qui n'avait qu'un seul étage en 1690, mais elle donne une bonne idée du cours des événements. (Bibliothèque et Archives Canada, C-006022)

Site: Défense Nationale

La solde

Type: Document

La solde du soldat n'est pas très élevée et suit rarement la hausse du coût de la vie. De 1797 à 1867, elle s'établit à 1 shilling (12 deniers) par jour, moins les déductions pour la nourriture, les vêtements et autres. Il reste alors peu d'argent à l'homme de troupe pour le superflu.

Site: Défense Nationale

Compagnies des cannonniers-bombardiers

Type: Document

Le nombre d'artilleries à Louisbourg mena à la création d'une companie d'artillerie en 1743. A Québec, il y avait une école de formation d'officier d'artillerie qui devint le noyau d'une deuxième compagnie en 1750. Les artilleurs avaient leurs propres uniformes et étaient considéré comme des soldats d'élite.

Site: Défense Nationale