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Date > 1600

Sujet > Politiques et société > Vie chez-nous

Au son du tambour

Type: Document

Les villes fortifiées comme Québec, Montréal, Trois-Rivières et Louisbourg étaient toutes gouvernées par les militaires. Les vies des soldats français et des civils canadiens étaient régies par les différents battements de tambour de la garnison, de La Diane à l'aube à La Retraite au coucher du soleil.

Site: Défense Nationale

Mille deux cent nouveaux hommes

Type: Document

L'ajout de 1200 nouveaux hommes français à une colonie de 3200 hommes eut un impact important sur la communauté. Le régiment de Carignan-Salièress fut rapidement déployé aux fortifications en bordure de la rivière Richelieu.

Site: Défense Nationale

Guerriers iroquois rôdant près d'établissements français, années 1650

Type: Image

Jusqu'aux années 1660, et dans la région de Montréal en particulier, aucun habitant des établissements français ne peut vraiment se sentir à l'abri d'attaques suprises menées par des guerriers iroquois. De nombreux colons canadiens, y compris des femmes, apprennent à manier les armes à feu durant les années 1650.

Site: Défense Nationale

Signalisation des dangers, années 1660

Type: Image

Puisque les Iroquois lancent constamment des attaques-surprises contre les colons à Montréal entre 1660 et 1665, les sœurs hospitalières font elles aussi le guet et sonnent leur cloche pour donner l'alarme chaque fois qu'elles aperçoivent quelque chose de suspect.

Site: Défense Nationale

Les manières à table

Type: Document

Les officiers en Nouvelle-France mangeaient à la manière des classes supérieures. Il y eut des changements au 17e au 18e siècle mais à la table, les bonnes manières étaient de mise.

Site: Défense Nationale

Plan de l'établissement français à l'île Sainte-Croix en 1604

Type: Image

En juin 1604, les hommes faisant partie de l'expédition française dirigée par le Sieur de Monts et Samuel de Champlain commencent à construire un poste de traite et un établissement sur une île qu'ils appellent Sainte-Croix, un emplacement choisi par souci de sécurité. Les choses tournent plutôt mal, car quelque 35 des 79 hommes qui s'y trouvent meurent du scorbut pendant l'hiver de 1604-1605. En outre, les relations avec les Indiens au sud sont tendues. Par conséquent, à la fin de l'été, les Français abandonnent Sainte-Croix pour aller construire un établissement fortifié à Port-Royal (aujourd'hui Annapolis-Royal, Nouvelle-Écosse).

Site: Défense Nationale

Courir les jupons

Type: Document

L'attraction des soldats pour les jeunes femmes était une réalité de la vie militaire. Des commentaires furent faits suite aux comportements "licencieux" des troupes. Les villes de la Nouvelle-France avaient des bordels et des prostitués pour les soldats qui avaient de l'argent à dépenser.

Site: Défense Nationale

« Abitasion » [sic] ou habitation de Port-Royal, construite en 1605

Type: Image

Cette habitaton fortifiée est construite par Samuel de Champlain et ses hommes en 1605 pour remplacer l'établissement précédent de Sainte-Croix. On cherche ainsi à profiter d'un climat un peu plus doux après avoir passé un hiver au cours duquel 35 des 80 colons meurent du scorbut. Le bâtiment est détruit en 1613 par des colons anglais venus de Virginie. (Bibliothèque et Archives Canada, NL8760).

Site: Défense Nationale

Statue de Madeleine de Verchères

Type: Image

Cette statue de la célèbre héroïne Marie-Madeleine Jarret de Verchères (1678-1747) se dresse sur la pointe de Verchères, près de Montréal. Elle est l'œuvre de l'artiste québécois Louis-Philippe Hébert (1850-1917), à qui l'on a demandé en 1911 de créer ce que l'on qualifiait de « statue de la Liberté du Canada ». Le gouverneur général Lord Grey, mieux connu en tant que donateur de la coupe du même nom, qui récompense la meilleure équipe de football canadien, a joué un rôle déterminant dans cette initiative.

Site: Défense Nationale

Le logement chez l'habitant

Type: Document

Plusieurs soldats vécurent avec leurs familles en Nouvelle-France. Contrairement à la France, cette imposition ne fut pas bien reçue puisque les travailleurs étaient rares dans la colonie.

Site: Défense Nationale