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Type de Ressource > Document

Sujet > Soldats, guerriers et leaders > Population > Américain

Organisation > Défense Nationale

Offensive contre la vallée de l'Ohio

Type: Document

En 1755, fort d'une armée constituée autour de ses deux régiments de réguliers, le général Braddock lance une attaque sur la vallée de l'Ohio depuis la Virginie. L'expédition de 200 km vers le fort Duquesne est ralentie par la nécessaire construction de routes et de ponts pour faire avancer les troupes en terrain difficile.

Site: Défense Nationale

Retrait américain et incendie des villes

Type: Document

Après la reconquête du lac Ontario par les Britanniques en décembre 1813, les Américains doivent déplacer des troupes pour protéger leurs chantiers navals de Sackets Harbor. Incapables de tenir le fort George, ils l'incendient ainsi que les villes voisines au milieu de l'hiver. Une unité de traîtres canadiens les aident à commettre cette infamie.

Site: Défense Nationale

Retour aux anciennes méthodes

Type: Document

Après 1777, afin de maintenir les rebelles américains sur la défensive, les Britanniques adoptent la vieille tactique canadienne d'incursions éclairs sur les campements ennemis. Ces raids sont menés par des groupes composés d'Amérindiens et de soldats dont des loyalistes américains comme les Rangers de Butler.

Site: Défense Nationale

Reddition du fort Beauséjour

Type: Document

Dès le début de la guerre en 1755, les Britanniques prennent l'offensive en Nouvelle-Écosse, où ils s'emparent des deux forts français installés sur l'isthme de Chignectou revendiqué par les deux belligérants. Le fort Beauséjour capitule le 17 juin après un bref siège, tandis que le fort Gaspareau est conquis peu de temps après sans coup férir.

Site: Défense Nationale

Pour la Nouvelle-France, le vent tourne

Type: Document

En 1758, malgré leurs tentatives d'arrêter l'armée britannique du général Forbes, les Français n'arrivent pas à rester maîtres de la vallée de l'Ohio. Avant de battre en retraite, ils font sauter le fort Duquesne. Au début de l'été, l'armée américaine s'est emparée du fort Frontenac, sur le lac Ontario. Les appels à l'aide restent sans écho en France, où la situation empire.

Site: Défense Nationale

Les Première nations, véritables maîtres des Plaines

Type: Document

Les Indiens des Plaines sont encore les maîtres des Prairies pendant la première moitié du 19e siècle. Nations nomades, guerriers redoutables et cavaliers émérites, ils luttent contre la progression des colons américains. En revanche, leurs relations avec les négociants de la Compagnie de la Baie d'Hudson sont relativement harmonieuses.

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La bataille de Crysler's Farm

Type: Document

En novembre 1813, la principale colonne américaine progresse vers l'est et Montréal par le fleuve Saint-Laurent. Dans le champ d'un fermier près de l'actuel Morrisburg (Ontario), ils rencontrent des réguliers britanniques qui les écrasent au cours d'une bataille à l'européenne signant ainsi la fin des tentatives d'invasion de 1813.

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Prise d'Oswego par le général Montcalm

Type: Document

En mai 1755, d'autres renforts provenant de l'armée métropolitaine française arrivent au Canada. Ils sont commandés par le fougueux marquis de Montcalm qui, dès son arrivée dans la colonie, dirige un siège à l'européenne réussi contre les forts britanniques qui défendent Oswego.

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Une guerre de type colonial

Type: Document

Au 18e siècle, la France ne conserve qu'une poignée d'hommes dans ses vastes possessions d'Amérique du Nord pour deux raisons. D'une part, les terres sont en grande partie assujetties aux traités commerciaux conclus avec les Amérindiens, et d'autre part, les tactiques employées unissent les méthodes autochtones au sens de l'organisation et à la discipline européennes.

Site: Défense Nationale

Une attaque longtemps attendue

Type: Document

À l'automne de 1813, les Américains déclenchent finalement leur attaque longtemps retardée sur Montréal. L'invasion est menée par une colonne qui descend le Saint-Laurent vers l'est, tandis qu'une autre remonte la vallée de la Châteauguay depuis le sud. Six mille défenseurs font face à 14 000 envahisseurs.

Site: Défense Nationale