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Les infirmières militaires canadiennes ont un héritage de service militaire qui date de 1885, quand pour la première fois, les infirmières canadiennes faisaient partie d'une équipe médicale dédiée à soigner des soldats blessés durant la Rébellion du Nord-Ouest. Cette page décrit brièvement l'histoire des infirmières militaires, de ses débuts jusqu'à l'époque contemporaine de leur engagement dans des missions de paix.

Lorsque le Canada s'engagea dans la Seconde Guerre mondiale, le service des infirmières s'élargit aux trois armées: l'armée de terre, la marine, et l'aviation. Dans chaque secteur, elles étaient vêtues d'une tenue de travail et d'un uniforme distinctifs et elles portaient toute le voile blanc des infirmières militaires. Elles étaient toutes des officiers brevetés. Comme tous ceux et celles qui se rendaient outre-mer, les infirmières faisaient partie de grands convois défiant la flotte de sous-marins allemands qui sillonaient l'Atlantique Nord.

De 1940 à 1945, elle fut le commandant national de la division d'infirmières auxiliaires de la Croix-Rouge canadienne. Ce document comporte des photographies de son uniforme et ses médailles.

Cette liste d'infirmières militaires mortes en service durant les 2 guerres mondiales contient des liens à plus d'information personnelle, des descriptions de service militaire, ainsi que des détails reliés à leurs sites tombales.

Les hopitaux en Nouvelle-France furent fondées et entretenues par les ordres religieux de l'Église catholique romaine. Les coûts étaient absorbés par l'Etat et en retour les officiers, les soldats et les marins recevaient des soins, de la nourriture et des médicaments gratuitement.

3,141 infirmières militaires canadiens se sont portées bénévoles durant la Première Guerre mondiale. Les unités médicales étaient aménagées dans les hôpitaux, les postes d'évacuation sanitaire, ainsi que sur les navires médicales. Par la fin de la Première Guerre mondiale, 46 infirmières militaires avaient donné leur vie.

Laura Gamble s'est enrôlée dans le Corps médical armé canadien et a servi outre-mer en Angleterre, en France et en Grèce. Elle était une des deux mille infirmières qui ont servi dans le Corps expéditionnaire canadien et a consigné ses expériences sur le front Ouest dans un journal personnel.

Les troupes canadiennes participèrent à leurs premiers combats en Afrique du Sud en février 1900, et par la suite se distinguèrent en plusieurs rôles au cours de la guerre. Ce survol raconte brièvement les faits saillants de la participation du Canada à la guerre et fournit les noms des récipiendaires de la Croix de Victoria ainsi que la Croix-Rouge royale.

Une bibliographie couvrant l'effort des canadiennes durant la Première Guerre mondiale. Pour la première fois, les femmes ont pris part en grand nombre à l'effort de guerre au Canada, pas seulement dans les forces armées et les services auxiliaires, mais aussi dans les affaires, l'industrie et l'agriculture, pendant que de nombreux hommes servaient outre-mer.

En Corée, les infirmières ont dû encore une fois assurer des services médicaux dans une zone de combats. Lorsque le cessez-le-feu est entré en vigueur, les infirmières ont travaillé au chevet des prisonniers de guerre qui venaient d'être libérés pour les aider se rétablir physiquement. Les "soeurs" de l'Aviation royale canadiennes qualifiées comme infirmières de bord ont accompagné les blessés évacués par air au Canada. Il y a également eu comme autre spécialité la formation d'un service de sauveteurs-parachutistes. Avec l'engagement du Canada dans l'OTAN, des infirmières canadiennes ont servi en Allemagne, France, dans la guerre du Golfe, en Bosnie-Herzégovine, au Rouanda et en Somalie.