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Malgré leurs querelles, les membres de l'état-major de la Nouvelle-France s'entendent sur un point : il faut plus de combattants pour défendre la colonie. À l'hiver de 1756-1757, le gouverneur Vaudreuil réorganise les ressources militaires existantes, et deux bataillons additionnels sont expédiés par l'armée métropolitaine française.

La création d'une armée canadienne outre-mer favorise la croissance d'une identité canadienne distincte du modèle britannique. À l'indépendance militaire du Canada sur le champ de bataille fait suite au cours des décennies l'acquisition progressive de l'indépendance politique.

Le SGAFC est le programme de gestion des collections des musées militaires des Forces canadiennes (FC). Il a été déployé sur support CD-ROM au coût de la reproduction du programme. Le SGAFC a fait l'objet d'essais complets en tant qu'application de base de données autonome pouvant prendre en charge une base de données garnie de 55 000 fichiers. Le système de classification incorporé dans le SGAFC est celui de Parcs Canada. Il a été spécialement conçu en fonction de la terminologie des objets militaires.

En 1756, la nomination d'un escroc, François Bigot, né au Canada, au poste d'intendant (et ministre des Finances en chef de la Nouvelle-France) ne fait qu'empirer la situation. La corruption et le vol qu'il tolère entraînent une inflation galopante en Nouvelle-France, ce qui appauvrit nombre d'officiers, notamment parmi les métropolitains dépourvus de revenus locaux.

En 1755, fort d'une armée constituée autour de ses deux régiments de réguliers, le général Braddock lance une attaque sur la vallée de l'Ohio depuis la Virginie. L'expédition de 200 km vers le fort Duquesne est ralentie par la nécessaire construction de routes et de ponts pour faire avancer les troupes en terrain difficile.

L'effort canadien durant la Première Guerre mondiale est exceptionnel vu la faible population et l'histoire militaire du pays. De nombreux monuments et cimetières d'Europe commémorent les Canadiens qui ont sacrifié leur vie.

Le ministère français de la marine était responsable des navires de guerre, de la défense côtière et de l'administration des colonies. Il fut capable de maintenir des troupes en France, dans les Antilles et en Amérique du Nord.

La recherche dans le répertoire des musées militaires des Forces canadiennes se fait par le nom ou par la province. Les données contiennent le numéro de téléphone, les adresses et les heures d'ouvertures. Plusieurs données inclus des liens vers d'autres sites web de musées.

Après la reconquête du lac Ontario par les Britanniques en décembre 1813, les Américains doivent déplacer des troupes pour protéger leurs chantiers navals de Sackets Harbor. Incapables de tenir le fort George, ils l'incendient ainsi que les villes voisines au milieu de l'hiver. Une unité de traîtres canadiens les aident à commettre cette infamie.

À l'automne de 1756, le général Montcalm et le gouverneur Vaudreuil écrivent à leurs supérieurs pour se plaindre de leur comportement respectif. Les officiers de la Nouvelle-France se divisent en deux camps hostiles : les natifs du Canada (menés par le gouverneur) et les natifs de France (menés par Montcalm).