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Louis Riel est né à Saint-Boniface en 1844 et a fait ses études à Montréal. À son retour dans la colonie de la rivière Rouge, il trouva un peuple divisé, inquiet de son avenir politique.

Le terme Métis, tout comme 'mestizo', vient du mot latin 'mixticius', qui signifie « personne provenant d'origines raciales mixtes ». Toutefois, le terme n'est pas qu'une simple désignation raciale : il renvoie à une culture et à une nation qui a joué un rôle important dans l'histoire de l'Ouest canadien. Aujourd'hui, il prend place avec fierté dans la mosaïque des ethnies qui composent le pays.

L'un des éléments principaux de sa vision était un fort sentiment d'unité nationale. En tant que jeune homme, il disait : « L'union entre les peuples, le secret de l'avenir. » [« The unity of the people is the secret of the future. »...

Ce lieu historique national du Canada est étroitement lié à l'histoire de Louis Riel, chef des Métis et un des fondateurs du Manitoba. Situé sur le lot 51 le long de la rivière Rouge, le lieu historique national de la Maison-Riel a longtemps été habité par la famille Riel; des descendants de la famille y sont restés jusqu'en 1969.

Après la guerre, le Haida a été converti en destroyer d'escorte (DDE) auquel on a accordé le numéro de fanion 215. Il a effectué deux périodes de service en Corée.

En visitant York Factory, on découvre les nombreuses facettes de l'histoire de la Compagnie de la Baie d'Hudson et de la traite des fourrures aux XVIIIe et XIXe siècles

Cette maison victorienne cossue construite en 1878 au coeur de la ville a été habitée par deux premiers ministres : sir Wilfrid Laurier et William Lyon Mackenzie .

Le dicton « les femmes portent la moitié du ciel sur leurs épaules » reflète bien l'importance des contributions faites par les femmes dans le monde entier. Cette activité fait connaître aux élèves des femmes exceptionnelles, des « agentes de changement », ainsi que les organisations au sein desquelles elles ont été actives.

Un bref historique de ce lieu historique national sur l'île McNabb, Nouvelle-Écosse. Pendant trois quarts de siècle, le fort McNab tenait lieu de batterie de tir et de porte d'entrée du port d'Halifax. Depuis l'époque de John A. MacDonald jusqu'à celle de John Diefenbaker, cette fortification veillait sur les approches du port. Pendant les deux guerres mondiales, elle s'est transformée en poste de contrôle et devait se charger de la tâche cruciale d'examiner les navires, pour s'assurer qu'ils ne posaient aucune menace à la sécurité du port.

À la fin d'avril, durant une patrouille sur la Manche, le Haida a coulé un destroyer allemand. Un peu plus tard, le 29 avril, le hasard a placé deux autres destroyers allemands, partis des côtes de France, sur la route du Flotilla . L' Athabaskan et le Haida, se sont lancés à leur poursuite. Malheureusement, une torpille a heurté l' Athabaskan.