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Sujet > Forces armées > Vie militaire > Vêtements et uniformes

Matthew Whitworth-Aylmer, 5e baron d'Aylmer et gouverneur général du Canada, 1830-1835

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Matthew Whitworth-Aylmer, 5e baron d’Aylmer (1775-1850), porte l’uniforme réservé aux gouverneurs coloniaux. Jusqu’en 1824, ils portaient des uniformes de généraux d’armée. Par la suite, on leur a attribué un uniforme spécial de cérémonie de style militaire de couleur bleue et écarlate, dont le dernier à le porter a été le gouverneur général Roland Mitchener au début des années 1970. Aylmer a connu une éminente carrière militaire au cours des guerres napoléoniennes. Coïncidence digne de mention, pendant quelque temps, il a fait partie du 49th Foot sous le commandement d’Isaac Brock, futur héros de la guerre de 1812. Lorsqu’il a été nommé gouverneur, Aylmer n’avait que peu d’expérience comme politicien et s’est retrouvé au beau milieu d’un conflit ethnique amer au Bas-Canada. Finalement, malgré que son vœu était de convaincre les Canadiens français de ses bonnes intentions, il a adopté une série de griefs qui ont mené à la rébellion de 1837. (Bibliothèque et Archives Canada, C-004809)

Site: Défense Nationale

Cavalier, Montreal Royal Cavalry, 1824

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Cette silhouette d’un cavalier de l’unité Royal Montreal Cavalry, datant de 1824, est l’une des premières images connues d’une unité canadienne. Ces unités de cavalerie légère de milice étaient habillées dans le même style que les dragons légers de l’armée britannique. L’uniforme était bleu à la devanture écarlate, et garni de boutons et de cordons dorés. La silhouette originale se trouve dans la collection du Musée d'Argenteuil, à Carillon (Québec). La Royal Montreal Cavalry recrutait parmi les anglophones de la classe moyenne de Montréal, et constituait, en quelque sorte, une version militaire du Montreal Hunt Club.

Site: Défense Nationale

Camp du 43rd Regiment of Foot pendant le siège de Fort Beauséjour, juin 1755

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Les hommes du 43rd Regiment of Foot faisaient partie d'une imposante armée de 2 000 hommes sous la gouverne du lieutenant-colonel Robert Monkton, qui a pris le fort Beauséjour après un court siège pendant l'été de 1755. À gauche, on voit des hommes de la compagnie de grenadiers, que l'on peut distinguer grâce à leur bonnet pointu. Au centre se trouvent des soldats ordinaires qui portent le tricorne, tout comme la plupart des membres du régiment. Les jeunes hommes à droite sont des tambours et les couleurs de leur manteau sont inversées pour que l'on puisse facilement les distinguer lors des batailles; élément très important à l'époque parce que les battements de tambour servaient à donner les ordres. La présence de femmes et d'enfants semble peu appropriée dans un campement militaire, mais un petit nombre de familles de soldat suivaient chacun des régiments britanniques lors des campagnes. Reconstitution par Lewis Parker. (Parcs Canada)

Site: Défense Nationale

Caporal, Royal 22e Régiment, Italie, 1943

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Au cours des étés dans le sud d'Italie, les Canadiens portaient l'uniforme tropical de la British 8th Army. Cette reconstruction de Ron Volstad dépeint un caporal du Royal 22e Régiment, le seul régiment francophone de l'infanterie régulière dans l'armée canadien pendant la guerre. L'unité a participé au combat pour la première fois dans les débarquements en Sicile en 1943. Notez l'insigne célèbre rouge de la 1re Division canadienne au-dessus de l'épaule. Cet insigne date de la Première Guerre mondiale. (Ministère de la Défense nationale du Canada)

Site: Défense Nationale

Veste du capitaine William Wells, Régiment de Grenville, milice du Haut-Canada, vers 1820

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De 1814 aux années 1830, les officiers de l’infanterie de milice du Haut-Canada devaient porter, sauf en de rares exceptions, un uniforme écarlate à la devanture bleu foncé, pourvu de boutons dorés et orné de cordons autour du cou et des poignets. Cette veste d’époque, datant d’environ 1820, appartenait au capitaine William Wells (1809-1881) du Grenville Regiment. Elle est conservée au lieu national historique de Fort Wellington. Wells était lui-même un éminent politicien réformiste.

Site: Défense Nationale

Grenadier du régiment de Guyenne (à gauche) et caporal du régiment de Béarn (à droite), vers 1756

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Ces hommes portent la version spéciale canadienne de l'uniforme régimentaire, conçue à la demande du ministère de la Marine (responsable des colonies françaises). À gauche, se trouve un grenadier du régiment de Guyenne. Sa moustache révèle qu'il est membre de la compagnie des grenadiers d'élite - les autres soldats français de l'époque devaient être rasés de près. Son uniforme ressemble beaucoup à l'uniforme européen, mais son manteau gris-blanc n'a pas de col. L'uniforme canadien du régiment de Béarn comporte plus de différences : manchettes et gilet bleus; boutons gris d'étain; rubans argentés. Cet uniforme est considérablement différent de celui qui est porté en Europe : col, manchettes et gilet rouges; boutons en laiton; rubans dorés. Sur les manchettes du caporal du régiment de Béarn (à droite), on aperçoit des mailles argentées qui servent à identifier son rang. Reconstitution par Eugène Lelièpvre. (Parcs Canada)

Site: Défense Nationale

Memorabilie de L'Armée du Salut - Uniformes

Type: DocumentImage

On y trouve des photographies de casquettes et d'uniformes portées par les membres de l'Armée du Salut pendant la Seconde Guerre mondiale.

Site: Musée canadien de la guerre

Tambour, Primera Compañía franca de Voluntarios de Cataluña à Nootka, 1790-1794

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Il y avait deux tambours au sein de la Primera Compañia franca de Voluntarios de Cataluña (ou première compagnie franche de volontaires catalans). Cette unité de l'armée coloniale espagnole a garni les rangs de la première garnison à Nootka. Après 1760, les tambours de l'armée espagnole portaient la livrée du roi d'Espagne - un manteau bleu avec un col et des manchettes écarlates, ainsi qu'un gilet écarlate. Le manteau et le gilet étaient parementés d'un ruban écarlate brodé d'un fil blanc. Ce même patron de ruban était utilisé pour les uniformes français avant le début de la Révolution française, en 1789. Les rois bourbons d'Espagne étaient de la lignée de la famille royale de France et ont adopté une livrée semblable. Reconstitution par David Rickman. (Parcs Canada)

Site: Défense Nationale

Cavalier, 1ère Troupe de Cavalerie de la Milice volontaire du comté de York, circa 1855

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Officieusement connue sous le nom de la « troupe de Dennison », la famille Denisson l’ayant commandée durant trois générations successives, la cavalerie volontaire de Toronto date de 1822. L’uniforme montré sur la photo était bleu foncé avec le collet et les parements chamois pâle et ornés de tresses d’argent. Cette tenue fut adoptée après la rébellion de 1838 (quand l’unité était alors dénommée « Queen’s Light Dragoons ») et fut portée jusqu’en 1871. À cette époque, l’unité devint la « The Governor General's Body Guard » (Garde à cheval du gouverneur général). (Bibliothèque du Ministère de la Défense nationale du Canada)

Site: Défense Nationale

Le capitaine George Denison, York Dragoons, années 1820

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George Taylor Denison (1783-1853) est le fondateur d’une dynastie militaire canadienne et d’un régiment de milice canadien qui existent encore au 21e siècle. Également connus sous le nom de York Light Dragoons ou York Cavalry, les York Dragoons ont été créés en 1822 et détachés auprès du 1st West York (qui deviendra Toronto) régiment de milice. Après avoir subi de nombreux changements de nom, l’unité porte maintenant le nom de Governor-General’s Horse Guards et est devenue un régiment de réserve situé à Toronto. L’uniforme des années 1820 était une veste bleu foncé munie de garnitures chamois, ainsi que de boutons, de cordons et d’ailerons argent.

Site: Défense Nationale